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9 aout: évolution

Je n'aime pas forcément répandre trop ce genre d'informations qui confortent certaines personnes ) négliger la planète sous prétexte que "tout ira bien", "il n'y aura pas de problème..."...

Mais j'ai quand même envie de vous donner une information qui ne nous laissera pas triste!

On les avait pratiquement déjà condamné, ces énormes et mignonnes boules de poils blanches, résidentes des pôles, et pourtant, il se pourrait bien que l'ours polaire ait encore l'espoir de rester sur ses neiges et sa glace, selon une étude du génome des plantigrades publiée.

Les scientifiques américains ont en effet déterminé que l'espèce serait âgée de 4 à 5 millions d'années au lieu des 600 000 années qu'on leur prêtait. Le secret de leur extraordinaire longévité : leur extraordinaire faculté d'adaptation !

Cette technique liée à leur instinct naturel pousse les ours à se métisser à l'ours brun lorsque la température s'élève. Ainsi, les ours blancs migrent vers les régions plus méridionales, donnant ainsi naissance à des générations d'oursons plus adaptées aux conditions climatiques plus chaudes.

«Nous voyons des indices selon lesquels dans les périodes chaudes, les ours polaires ont changé leur mode de vie et sont entrés en contact, donc se sont reproduits, avec  des ours bruns», explique Stephan Schuster, auteur de l’étude et professeur de biochimie et de biologie moléculaire.

L'étude des fossiles par les scientifiques indiquent que les gênes « purs » des ours polaires était bien plus présents en eux lors des périodes les plus froides de l'histoire de la planète Terre. La population de l'ours blanc a ainsi considérablement varié, selon les amplitudes thermiques, mais c'est à chaque fois reconstituée lorsque le thermomètre chutait.

«C’est la première fois que nous observons, à partir des gènes, que l’histoire de la population des ours blancs retrace l’histoire du climat terrestre, précise Charlotte Lindqvist, co-auteur de l’étude.  Nous avons aussi observé qu’il y a beaucoup moins d’ours polaires aujourd’hui que durant la Préhistoire.»

Alors certes les ours et leur milieu risque de subir (et subit déjà) les activités humaines... mais l'humain ne détruira pas tout! OUF!



09/08/2012
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