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14 décembre: détente

Au Canada, l'université de Dalhousie souhaite relaxer ses étudiants en cette fin d'année stressante. Elle a donc décidé d'ouvrir une salle de repos avec des chiots.

La fin d’un semestre est toujours une période difficile pour les étudiants. Examens, stress, fatigue et mauvaise hygiène alimentaire font de cette période universitaire l’une des plus difficiles à vivre. Mais l’université de Dalhousie, au Canada, a décidé d’expérimenter une nouvelle méthode relaxante : les chiots.

L’université de Dalhousie, à Halifax, a créé une pièce spéciale les 4, 5 et 6 décembre, pour aider ses étudiants à décompresser avant les échéances de cette fin d’année. Dans cette pièce, l’université à proposé aux jeunes étudiants de se relaxer avec des chiots. Sans surprises, cette nouvelle à été reçue avec engouement par les principaux intéressés. D’ailleurs, il suffit de voir le nombre de like et de partage sur la photo facebook annonçant le projet pour s’en rendre compte. Plus de 1000 partages et autant de like en 24 heures.

Le Huffington Post canadien a interviewé Lindsay Dowling, la responsable de communication de l’union des étudiants et une amoureuse des animaux, qui a expliqué qu’elle a déjà répondu à de nombreux coups de fil d’étudiants et de médias, curieux de savoir ce qu’était cette "puppy room". Les chiots ont été amenés par des bénévoles de la Patte Therapeutic Paws of Canada, une organisation spécialisée dans l’accompagnement de chiens et de chats dans les écoles et les maisons de retraite.

L’université de Dalhousie n’est pas la première école au Canada à se lancer dans ce genre de projet. En mars, l’université d’Ottawa avait déjà contacté l’organisation qui leur avait apporté Tundra, un Border Collie de 8 ans pour aider les étudiants à évacuer leur stress. "Le simple fait de caresser un chien diminue la pression sanguine et l’anxiété. Si vous êtes attentionné avec un chien, il le sera également avec vous", explique la propriétaire de Tundra, Audrey Giles, qui est également étudiante à l’université d’Ottawa.

Des étudiants ont expliqué ressentir un manque en étant éloigné de leur animal de compagnie. Ils ont besoin d’un animal de remplacement. D’où l’idée d’amener le meilleur ami de l’homme les distraire un petit peu pendant les grosses périodes de stress.



14/12/2012
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